Les prises de mesure nous permirent en premier lieu de faire un modèle 3D de la façade qui serviraient de base à toute notre étude en vue de sa restauration.

Le linteau fait de béton armé coulé in situ, avait été littéralement arraché au bâtiment dont des fragments volumineux lui restaient attachés.

Les jambages, quant à eux étaient fait de parpaing, et nous étions évidemment très surpris de constater qu’ils avaient pu être couchés sans trop de dommage puisque seul celui de gauche s’était rompu en deux parties.

Le 22 juillet 2009, nous venions à Nantes pour prendre connaissance dans les réserves du musée de cet étonnant objet de la collection.

La façade ayant été déposée, il y a quelques années par une équipe de maçons, ses quatre parties gisaient là, déposées sur des palettes dans un état de conservation étonnamment bon relativement aux mouvements et manipulations hasardeuses qu’elles avaient dû connaître.

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