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de Londres
à l'état actuel
"La salle des Cigognes"
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Lors de la très remarquable exposition Anglo-Japonaise,
qui se tint à Londres de mai à octobre 1910, un des pavillons qui attirait
le plus d'attention était, sans contredit, celui de l'association des exposants
de Kyoto appelé, par l'abréviation en japonais, le Kyoto Kan. C'est
là que la société japonaise de Paris, représentée
par son président et un certain nombre de ses membres venus pour étudier
l'exposition et surtout pour admirer...
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ci-dessus le Jodan noma, partie surélevée du
Tsurunoma tel qu'il fut présenté à Londres. Cette partie, tout
d'abord installée au musée Guimet a ensuite été reléguée
en réserve lors de son déplacement au cinquième étage
afin de laisser place à la réalisation d'un ascensseur. On remarquera
la présence d'un pilier au centre du Jodan noma. Celui-ci était une
contrainte de la présentation à Londres. Les pièces de bois
du plafond ont été adaptées en conséquence par les artisans,
ce qui donne à cette copie une particularité qui n'existait pas dans
la Tsurunoma original. |
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Lors de la très remarquable exposition Anglo-Japonaise,
qui se tint à Londres de mai à octobre 1910, un des pavillons qui attirait
le plus d'attention était, sans contredit, celui de l'association des exposants
de Kyoto appelé, par l'abréviation en japonais, le Kyoto Kan. C'est
là que la société japonaise de Paris, représentée
par son président et un certain nombre de ses membres venus pour étudier
l'exposition et surtout pour admirer...
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On remarquera en outre de la présentation londonienne,
la présence de quatre portes coulissantes décorées de tableaux
qui ne seront plus mis en place dans les salles en enfilade du musée Guimet,
sans doute pour facilité la circulation du public dans un espace en enfilade. |
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Lors de la très remarquable exposition Anglo-Japonaise,
qui se tint à Londres de mai à octobre 1910, un des pavillons qui attirait
le plus d'attention était, sans contredit, celui de l'association des exposants
de Kyoto appelé, par l'abréviation en japonais, le Kyoto Kan. C'est
là que la société japonaise de Paris, représentée
par son président et un certain nombre de ses membres venus pour étudier
l'exposition et surtout pour admirer
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Le Shoin à Lyon vers 1912 : vue extérieure.
La première présentation au musée Guimet était certes
plus complète, mais non exempte de quelques fantaisies. On remarquera sur
cette carte postale, d'une part la hauteur originale du Tsurunoma, raccourci d'une
trentaine de centimètres lors de son dernier déplacement, d'autre part
la position incongrue des portes-clostra, disposées en panneau de façade
au dessus des baies qu'elles étaient sensées fermer. |
Le Tsurunoma
tel qu'il fut présenté à Londres
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Le plancher du Tsurunoma était alors plus élévé
de trente centimètres environ. Les piliers ont donc tous été
coupés pour s'adapter à la situation actuelle et nombre de panneaux
a été raccourci dont les morceaux ont aujourd'hui disparu. On remarquera
la position occupée alors par le pilier du hall dans le plafond du Jodan noma. |
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